Boku87, le joueur de PokerStars qui défie le mot chance

Qui a dit que le poker est un jeu de chance ? Dans un but purement marketing, la célèbre salle PokerStars a mise au défi depuis plusieurs mois un de ses jeunes prodiges du poker qui bénéficiait du Statut Vip suprême : le Statut « Supernova Elite ».

En effet, la salle s’est mise en tête de prouver, à l’aide d’un challenge relevé, que le poker était avant tout un jeu de stratégie qui conjugue avec la chance et non pas le contraire.

Vidéo du joueur « Boku87 » est train de jouer en ligne sur 51 tables en même temps !

PokerStars s’est mis au défi de répondre aux plus sceptiques, en l’occurrence les personnes anti poker, qui expliquent que la fulgurante ascension de certains champions est due à une chance hors norme.

C’est ainsi que le prodige de PokerStars, le joueur « Boku87 » fut mis à l’épreuve une première fois. Le défi était simple : transformer 100 $ en 10 000 $ le plus rapidement possible.

Et bien il lui aura fallu seulement 14 jours à ce génie du poker pour mener à bien sa mission, ce qui dénote une extrême discipline ainsi qu’une gestion sans faille des concepts de bankrolls.

Un coup marketing d’enfer pour PokerStars qui illustre avec brio avec le joueur « Boku87 » la possibilité pour chacun de nous de gagner des revenus durables et non négligeables… en remplaçant le mot “chance” par “stratégies”.

Le poker, c’est pas comme le Loto, le jeu fiscal et favori des rêveurs qui engraisse confortablement les recettes des Etats de ce monde. Le poker, pour qui veut s’en donner la peine, est un jeu où la chance est très peu présente.

PokerStars désirait aller plus loin en prouvant que même avec 5 dollars, quiconque peut les transformer en 100 000 $, c’est ainsi que le génie « Boku87 » accepta une nouvelle fois sa mission: transformer 5 $ en 100 000 $ le plus rapidement possible.

De quoi faire rêver une bonne partie des joueurs de poker, un pari gagnant pour la salle qui suscitera sûrement des vocations de toute part.

Un défi néanmoins très relevé pour notre génie, qui devra s’entrainer à de très basses limites le temps d’avoir une bankroll assez importante.

Effectivement, le fait d’avoir une bankroll de 5 $ lui permettra de jouer uniquement sur des Sits & Go de 20 centimes, soit seulement 25 buy-ins en poche.

La marge d’erreur est très faible, tandis que les pros recommandent 50 à 100 buy-ins afin d’enlever la notion de variance provoquée par la chance.

De plus, n’oublions pas que ce champion devra sûrement jouer pendant un mois pour des centimes, de quoi lui remettre les pieds sur terre, alors qu’il était habitué à des parties où les enjeux dépassaient l’entendement.

C’est ainsi que ce boulimique du travail a œuvré 8 heures par jour afin de rendre son défi possible et quelques mois plus tard, les résultats sont là, sa bankroll atteint désormais plus de 24 000 dollars, de quoi remettre nos traders au travail et à se demander si les banques ne devraient pas miser sur ces champions qui transforment de la petite monnaie en or !

Le poker est il toujours un jeu de chance ? A vous d’en juger !