Les Casinos Barrière possèdent leur propre casino en ligne au Royaume-Uni
15 millions d’€uros, 80 personnes et près de deux ans de travail il a fallu au Groupe Barrière pour pouvoir lancer Le Croupier.com, casino en ligne.
Les casinos Barrière ont lancé leur casino en ligne au Royaume-Uni
La honte pour le gouvernement Français ? Décidemment, le gouvernement devrait vraiment réfléchir sur sa réelle volonté de faire bouger le dossier de l’ouverture du marché dans le domaine des casinos en ligne, puisque les opérateurs français sont obligés d’aller voir ailleurs à défaut de pouvoir servir leurs compatriotes.
Le monde des jeux d’argent en ligne est en pleine effervescence actuellement, le secteur ne cesse d’évoluer au profit de ceux qui osent et qui veulent vraiment partir de l’avant.
Et comme Patrick Partouche l’a si bien dit, il n’est plus question de discuter avec des personnes qui font les sourds quand on leur demande de réguler au plus vite le marché des casinos en ligne, toujours interdit en France.
Les casinotiers Français sont donc obligés de trouver chacun de leur côté les solutions qui leurs conviennent pour sortir de cette crise qui envenime les budgets des joueurs français et qui se répercute directement sur leurs affaires.
Même les grosses pointures comme le Groupe Partouche et le Groupe Barrière subissent de plein fouet ce problème.
Les mesures adoptées par ces leaders des jeux d’argent en France divergent donc selon les tempéraments des dirigeants, mais dans tous les cas, il est certain que tout le monde a la ferme intention de s’investir dans les jeux casino en ligne… mais chacun à sa manière !
C’est ainsi que le Groupe Partouche fût le premier à se lancer dans cette perspective en forçant les choses, obligeant ainsi les autorités françaises à accepter le fait qu’un des grands noms de l’univers des jeux d’argent en France se mettent à transgresser les lois en vigueur avec l’ouverture de son site en version payante pour les joueurs français.
Et en effet, cela lui a valu des litiges avec l’Etat Français.
Au vu du tempérament et de la force de caractère de ce grand patron de Partouche, une telle chose est tout à fait naturelle.
Plus sage et moins colérique, Dominique Barrière Desseigne qui est aussi une figure emblématique des jeux d’argent et de l’hôtellerie française a emboité le pas de son homologue, mais avec une autre tactique qui devrait faire réfléchir les dirigeants français.
Le Groupe Barrière, à défaut de régulation des casinos en ligne en France, veut s’emparer une part de marché au Royaume-Uni
Le Groupe Barrière a ouvert son casino en ligne dernièrement au Royaume-Uni qui a l’avantage d’être plus large d’esprit que les français.
En effet, les anglais ont été parmi les premiers européens à ouvrir leur marché pour les paris sportifs, le poker en ligne ainsi que les jeux de casinos.
Selon Monsieur Desseigne, PDG des Casinos Barrière, il était plus important pour lui et son groupe d’ouvrir ce site au Royaume-Uni que de mettre en place un site gratuit en France, comme l’a fait d’ailleurs Partouche sur M6 Jeux, sans compter qu’auparavant, il y a fort à parier qu’il y ait eu conivence entre Partouche et Casino 770, le casino en ligne de la Société Mandarin.
Personne ne pourra reprocher la décision de Dominique Desseigne, car en plus d’être français, c’est surtout et avant tout un homme d’affaires.
Ainsi, on peut dire que c’est de sa part une gentille façon de dire aux français que pour eux, ils n’ont d’abord qu’à croire et à espérer.
Selon le grand patron du Groupe Barrière, la mise en place d’un site gratuit pour les français pourrait gâcher la surprise qui espérons-le, serait à la hauteur des attentes des joueurs de l’hexagone.
En effet, si Barrière a mis le paquet pour 20 000 joueurs anglais, on est en droit de s’attendre à de bien meilleurs choses pour les millions de joueurs français.
Ce qui pourrait surprendre aussi les concurrents de ce grand groupe, car il faudrait bien que chacun d’eux rivalise d’imagination pour séduire le marché français.
De belles perspectives qui pourront bien soulever la… Barrière.
15 millions d’€uros, 80 personnes et près de deux ans de travail, il a fallu autant au Groupe Barrière pour pouvoir mettre sur la toile anglaise son casino en ligne qui portera le nom très évocateur de « LeCroupier.com ».
L’ouverture du casino en ligne Barrière a été effectuée au mois de Mars. Le Groupe Barrière ne voudrait surtout pas louper son entrée dans l’univers du virtuel après avoir eu un parcours des plus excellents dans le monde du réel.
Qui n’a pas effectivement rêvé d’avoir une suite dans l’un des prestigieux établissements de ce groupe et pouvoir aussi s’asseoir sur les tables des casinos de ces mêmes établissements ?
Le prestige et la classe de ce groupe précèdent son nom et à chacune de ses extensions, les connaisseurs s’attendent continuellement à de bonnes choses qui feront toujours rêver.
Et apparemment, les joueurs ne seront pas déçus avec le site Lecroupier.com, car il promet d’être aussi étincelant que les casinos en dur du groupe.
Le casino en ligne Barrière a été conçu en 3D, ce qui n’est pas déjà chose courante dans l’univers des jeux d’argent en ligne. Mais comme Barrière a tant voulu garder son image, l’idée de base de la conception de ce site était de transposer tout simplement les casinos réels dans le monde du virtuel.
Ce qui est pratiquement chose faite et les deux années dépensées dans la réalisation de ce projet ne sont pas veines au vu des résultats annoncés par le groupe.
En effet, pour une fois il est possible pour les joueurs de se déplacer autant qu’ils veulent.
Les joueurs ont la possibilité de personnaliser le look de leurs personnages qui vont devoir faire affaire à des croupiers en 3D sous les regards admiratifs de belles créatures plus vraies que nature !
Pour l’instant, les services proposés par LeCroupier.com se limitent encore à certains jeux que sont les machines à sous, le blackjack et la roulette.
Avec autant d’assurance et autant de rêves si proches du réel, le Groupe Barrière compte bien gagner 1% du marché anglais, soit près de 20.000 joueurs d’ici un an. Cela reste à démontrer…